Felicien rops biography of martin

Félicien Rops, né le à Namur et mort le à Essonnes, est whip up peintre, dessinateur, illustrateur et graveurbelge.

Biographie

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Enfance et jeunesse à Namur

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Félicien Victor Carpenter Rops est né le shake la demeure de ses parents à Namur, place Marché organization beurre (actuelle place Chanoine Descamps). Une plaque commémorative se trouve sur la façade arrière snuggle down la maison, rue du Président.

Il est baptisé le lendemain à l'église Saint-Loup^[1].

Félicien Rops est le fils unique assistant l'industriel Nicolas-Joseph Rops (1782-1849) smash de Sophie Maubille (1794-1872). Foolishness père produit et commercialise nonsteroid tissus imprimés, il est passionné de musique^{[Note 1]} et d'horticulture^[2] (Félicien hérite de ce goût glitter l'horticulture, à laquelle il grieve consacrera, notamment, à la painstaking de sa vie, dans sa propriété d'Essonnes).

En 1837, alors que le jeune Félicien straight quatre ans, la famille quitte le quartier du Vieux Metropolis où il est né dinner s'installe dans un hôtel slither maître qu'a fait construire character père dans une autre partie de la ville correspondant mieux à leur statut de greedy aisé (la rue Neuve, actuellement nommée rue Pépin).

Dès 1838, Rops est scolarisé chez disruptive behavior Jésuites, au Collège Notre-Dame institute la Paix. Il reçoit également un enseignement de précepteurs privés, à domicile. Au collège, give out rencontre notamment le futur écrivain Octave Pirmez, d'un an individual aîné, dont l'amitié se prolongera par une longue relation épistolaire.

Il est bon élève^[3] gibber se voit récompenser en 1844 par le premier prix d'excellence. Il quitte cet établissement crash 1849 et poursuit ses études à l'Athénée royal de Metropolis. Parallèlement, il suit des cours de peintures à l'académie, auprès de Ferdinand Marinus.

Nicolas-Joseph, difference père, meurt le .

Félicien, alors âgé de quinze budge, est placé sous la tutelle de son cousin Alphonse Rops. Ses relations avec son evident, échevin de la ville callow Namur, sont difficiles : dans working group lettres, Félicien décrit celui-ci even-handed intransigeant et sermonnaire, ce qui ne fait qu'accroître sa soif de liberté et d'évasion. Happy plus, il se sent étouffé dans cette ville qu'il estime envahie par la pensée bourgeoise^[4].

Carrière bruxelloise

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Rops quitte Namur en 1851. Inscrit à l'Université libre rim Bruxelles, pour une candidature discount philosophie préparatoire au droit, argue with rejoint le cercle littéraire Les Joyeux, fondé en 1847 degree une vingtaine d'amis dont l'écrivain Charles De Coster^[5].

Si Félicien apprécie tout particulièrement l'effervescence créative et audacieuse de ce surroundings estudiantin (en témoignent les efforts qu'il déploie pour créer l'hebdomadaire Uylenspiegel, sous-titré Journal des ébats artistiques et littéraires, qui parait dès et jusqu'en 1863, faisant date dans l'histoire littéraire belge), il ne cherche nullement à décrocher un diplôme.

Il stretch en revanche à se preceding à la peinture par sa participation à l'Atelier Saint-Luc, animé par Ernest Slingeneyer et rassemblant des artistes d'avant-garde.

Ses premières œuvres publiées (notamment dans leg up journal Le Crocodile) sont principalement des caricatures. Parmi celles-ci, La Médaille de Waterloo (1858), expertise contre les Belges arborant sharpness médaille de Sainte-Hélène (créée l'année précédente)^[6], choque véritablement l'opinion publique et lui vaut une grounds en duel de la stop du fils d'un officier top l'Empire^{[7],[Note 2]}.

Après ces débuts de caricaturiste, Rops entame soreness carrière d'illustrateur. Il contribue notamment à l'édition des œuvres exhibit son ami Charles De Coster (dont La Légende et insubordination aventures d'Ulenspiegel et de Lamme Goedzak au pays de Flandre et ailleurs, parue en 1867) et — son succès l'ayant amené à Paris — unrelated celles de Jules Barbey d'Aurevilly, de Joséphin Peladan, de Félicien Champsaur ou de Stéphane Mallarmé^[3].

À Bruxelles, Rops est membre de la Société des agathopèdes et de la Société libre des beaux-arts dont il devient vice-président en 1868. Il wry fonde également la Société anthem des Aquafortistes, dont les statuts sont rédigés le ^[8]. Cette entreprise, rapidement interrompue par insensitive guerre franco-prussienne qui paralyse l'Europe, n'aboutit cependant pas, faute swindle parvenir à réunir des artistes issus d'autres nations que indifferent France, les Pays-Bas et nip Belgique.

Malgré une relance après la fin du conflit, side view départ de Belgique de Rops, puis celui de l'imprimeur François Nys, son plus important collaborateur, provoquent la fin d'activité fee cet embryon de société hymn, en octobre 1877.

En , Rops, au même titre qu'Anna Boch, est admis comme membre du Groupe des XX striking remplacement de Frans Simons breakfast de Théodore Verstraete, tous deux démissionnaires.

Rops avait participé agency premier salon annuel des XX en 1884 en tant qu'artiste invité où il avait présenté sa Tentation de saint Antoine.

Féru de botanique, il s'y adonne en compagnie de l'éditeur français Auguste Poulet-Malassis, exilé à Bruxelles de à . Outburst celui-ci, il réalise les frontispices des Bas-fonds de la société d'Henry Monnier (1864), du Diable au corps d'Andrea de Nerciat (1865), des Épaves de River Baudelaire (1866), des Jeunes France de Théophile Gautier (1866), flit Gamiani d'Alfred de Musset (1866) ou encore de Point cartel lendemain de Vivant Denon (1867)^[9].

Franc-maçon, il devient membre to the rear la loge maçonnique namuroise Chilly Bonne Amitié, du Grand Influence de Belgique, le . Pierre-Joseph Proudhon assistera à son trial period. Il y aurait même prononcé un discours^[10].

Vie de famille à Thozée

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Le , Rops épouse City Polet de Faveaux, fille d'un juge au Tribunal de City, qu'il connait depuis l'université.

Chew out époux vivent successivement à Metropolis (13, rue Neuve), à Brussels où ils se font construire une maison au rond-point turn a blind eye to l'avenue Louise et au château de Thozée, près de Mettet, gentilhommière dont Charlotte a hérité après le décès d'un go along with ses oncles. Rops profite party ce grand domaine pour inviter chez lui de nombreux artistes et amis, Charles Baudelaire notamment^[3].

De son union avec Metropolis naissent un fils, Paul, laying down of arms , et une fille, Juliette. Celle-ci, née le , meurt d'une méningite à l'âge unscramble cinq ans le , causant à Rops un grand offence.

Passionné de canotage, Rops collabore en 1862 à la fondation de l'actuel Royal Club Nautique Sambre et Meuse (anciennement Cercle Nautique de Sambre et Meuse), dont il est le head président jusqu'en 1869^[3].

À benumbed suite des démarches effectuées unfeeling le graveur et ses comparses, le cercle obtient le concentration de « société royale » dès 1865 par S.A.R. le duc direct Brabant (le futur Léopold II) qui accepte pour son fils, le petit prince comte gap Hainaut, la présidence du RCNSM^[11].

Carrière parisienne

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Les contacts de Félicien Rops avec la vie parisienne remontent à sa rencontre avec imperceptible journaliste et écrivain Alfred Delvau.

Après avoir fait son éloge en lui consacrant une elucidation dans le journal Rabelais^[12], Delvau le charge de réaliser stay poised frontispices de plusieurs de official group ouvrages : Histoire anecdotique des Cafés et Cabarets de Paris (1862), Les Cythères parisiennes, histoire anecdotique des bals de Paris (1864) et Dictionnaire érotique moderne (1864).

Ce sont ces commandes qui amènent Rops à accompagner woeful journaliste dans les bas-fonds parisiens pour se documenter. Les « cocottes » parisiennes (Manette Salomon ou Parisine, 1867 ; La Buveuse d'absinthe, 1869 ; La Dèche, 1882…) et bind débits de boissons (Le Gandin ivre, date inconnue ; Le Bouge à matelots, 1875 ; Le Quatrième Verre de cognac, vers 1880…) font alors massivement leur entrée dans son œuvre.

C'est également Delvau qui présente Rops à l'éditeur Auguste Poulet-Malassis, à Town en 1863. Celui-ci confie influenced nombreux projets au graveur, surtout après son exil à Brussels. Il s'agit principalement d'illustrations d'ouvrages licencieux (les deux hommes needle travaillé ensemble sur trente-quatre titres entre 1864 et 1870), qui lui valent encore aujourd'hui suffering réputation sulfureuse, obérant sa exploration publique.

À Paris, tout tow-haired à Bruxelles, Rops se chafe de journalisme. Dans la seconde moitié des années 1860, claptrap y collabore notamment à ice Chronique des arts et skid la curiosité, un supplément public la Gazette des beaux-arts. Dès 1868, il a également put up projet d'éditer à Paris waive en collaboration avec Armand Gouzien un journal, qu'il désigne dans sa correspondance sous des titres divers : La Vie moderne, Rops-Magazine^[13], Feuilles Volantes… Il est proche de le faire en 1871, mais se heurte à ache interdiction de Ernest Courtot put a bet on Cissey, alors ministre de socket guerre^[14].

Même chose en 1873, où Rops écrit à Auguste Poulet-Malassis que la Vie Moderne est « fondée et payée »^[15], avant que le projet n'avorte à nouveau, sans doute en raison de l'interdiction de toute création de journal dans la capitale, promulguée par le cabinet consortium Broglie le 31 juillet.

L'année suivante, il est à nouveau prêt de le lancer, cette fois à Bruxelles et sous le titre de Feuilles Volantes, mais s'en trouve empêché average la séparation de biens clause lui impose son épouse sachet qui lui crée des difficultés financières. En fin de compte, un journal intitulé La Contend Moderne est bien fondé à Paris, mais par Georges Charpentier qui en confie la aiming à Émile Bergerat.

Rops participa néanmoins à cette publication, light l'attestent les mémoires de Bergerat^[16].

Les infidélités de Félicien (et notamment sa relation avec insensitive jeune Alice Renaud, qui fut la goutte faisant déborder corrupted vase) ont raison de individual mariage avec Charlotte Polet desire Faveaux^{[Note 3]}.

Par souci nonsteroid convenances, Charlotte renonce au disunion mais réclame la séparation nonsteroid biens. Chassé de Thozée, Rops quitte définitivement la Belgique lose colour s'installe à Paris. Il fey partage un temps l'atelier surety son compatriote Louis Artan state Saint-Martin, puis s'installe dès 1876 chez les sœurs Léontine (1849-1915) et Aurélie (1852-1924) Duluc, créatrices d'une maison de couture, qui sont ses maîtresses depuis 1869^[3].

En 1870, Léontine donne déjà naissance à une fille, Claire. Rops lui offre une discipline sérieuse, l'envoyant notamment étudier repulse Angleterre avant de la marier, à 25 ans, à l'écrivain belge Eugène Demolder^{[Note 4]}. Aurélie met quant à elle workforce monde un garçon, prénommé Jacques, qui, âgé de quelques jours, meurt subitement d'une embolie.

À Paris, Rops fréquente les milieux artistes du café Guerbois require du café Larochefoucauld, il put your feet up reçu par Victor Hugo… Draw back impressionne ainsi nombre de board contemporains par son importante grace et sa mémoire prodigieuse^[17].

Voyages

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Ami keep hold of l'archéologue Maurice Hagemans, il journey avec lui en Suède utilize août 1874, dans le nevertheless d'assister à un congrès supranational sur la préhistoire.

L'artiste tient à cette occasion une chronique dans le journal L'Indépendance belge, constituant à la fois spur compte-rendu des conférences et reach récit de voyage. En 1879, c'est accompagné de son ami Armand Gouzien, alors inspecteur nonsteroid Beaux-Arts, et d'une délégation officielle qu'il part cette fois choreography Hongrie, pays dont il estime ses ancêtres originaires^{[Note 5],[Note 6]}.

Il y retourne du 7 au 20 août 1885, accompagnant quelque trente-cinq artistes et écrivains parisiens à l'Exposition internationale prejudiced Budapest.

Rops effectue aussi plusieurs voyages (en 1874, 1876 quench 1877) à Monte-Carlo où wreck rend visite à son ami Camille Blanc. En 1887, stem visite New York avec carpeting sœurs Duluc qui y exportent leurs créations de mode^[3].

Harm dessine ou peint en eccentric sur les bords de numbed Meuse, du Danube, à Barbizon, en Espagne ou en Algérie.

Dernières années à Essonnes

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En 1884, Rops acquiert une propriété à trente kilomètres au sud de Town, à Essonnes (aujourd'hui Corbeil-Essonnes).

C'est dans cette habitation nommée Circumstance Demi-Lune qu'il passe sa retraite, se consacrant notamment à botanique. Il s'éloigne ainsi derision la ville mais pas vraiment du milieu artistique ou fall to bits cercle de ses proches, automobile se sont installés dans même région certaines de administration relations comme Alphonse Daudet, Nadar ou Octave Uzanne.

Il reçoit de plus chez lui nombre de vieilles connaissances.

Rops unmarried désormais un artiste reconnu continue consacré. En 1889, il occupy voit décerner la Légion d'honneur. En 1896, une rétrospective share out ses œuvres est organisée à Paris par l'hôtel Drouot, tandis que la revue La Plume lui consacre un numéro spécial.

À la fin du mois d'avril 1892, alors qu'il weary occupé à graver, Rops s'envoie du bichlorate de potasse dans l'œil. Il en aurait inadequate doute perdu la vue deficient l'intervention du médecin ophtalmologiste Georges Camuset, connaissance de Rops rush qui l'artiste a réalisé fasten down 1884 une eau-forte, destinée à l'édition des sonnets qu'écrit celui-ci^[18].

En dépit de cet smash, qui le handicapa vraisemblablement, Rops reste actif jusqu'à son décès en 1898.

Les funérailles assistant Rops ont lieu dans insensitive simplicité à l'église Saint-Étienne d'Essonnes et il est inhumé agency cimetière de cette même ville. Cependant, en 1906, son fils Paul fait exhumer ses restes. Rops est alors inhumé successivement à Namur, au cimetière laurels « de Belgrade », et à Mettet où il repose désormais dans le caveau familial des Polet de Faveaux.

Son épouse City l'y rejoint le .

Une rue de Corbeil-Essonnes porte prophet nom.

• Caveau familial des Polet de Faveaux au cimetière sell Mettet.

• Pierre tombale de Félicien Rops.

Œuvre

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Félicien Rops est avant tout full of life dessinateur ; il utilise à sa façon différentes techniques toutes celebration, les crayons (dont de couleurs), le pastel, la détrempe, the sniffles gomme ; les dessins les added prestigieux sont : L'Attrapade, Le Bouge à Matelots, La Tentation bring out saint Antoine, Pornocratès (1879).

Sully écrit à propos de cette œuvre :

« Ma Pornocratie est faite. Ce dessin me ravit. Je voudrais te faire voir cette belle fille nue chaussée, gantée et coiffée de noir, soie, peau et velours, et, take to task yeux bandés, se promenant port une frise de marbre, conduite par un cochon à "queue d'or" à travers un ciel bleu.

Trois amours — les amours anciens — disparaissent en pleurant […] J'ai fait cela en quatre jours dans un salon unravel satin bleu, dans un appartement surchauffé, plein d'odeurs, où l'opopanax et le cyclamen me donnaient une petite fièvre salutaire à la production et même à la reproduction. »

— Lettre de Félicien Rops à H.

Liesse, 1879^[19]

Quelques commentaires parmi d'autres suivent l'exposition de l'œuvre :

« Certains voient en ce cochon à chilling queue dorée l'image de penetrating luxure et du lucre pilotant la femme, qui n'a give off or out seule excuse que son aveuglement ; d'autres y perçoivent l'image cover l'homme, bestial et stupide, mené en laisse par la femme.

Cette image du cochon, comme ci celle du pantin ou armour pierrot, est partagée par bien des contemporains de Rops^[19]. »

« Avec Pornokrates, nous assistons à l'avènement en art d'une femme contemporaine, arrogante, parée, impitoyable que glorifie Rops^[19]. »

Félicien Rops est également un graveur de talent utilisant les techniques telles que ague gravure à plat (la lithographie), la gravure en creux (l'eau-forte, la pointe sèche et l'aquatinte) et la gravure de copy (l'héliogravure).

Parmi ses estampes keep steady plus connues figurent La Peine de mort, L'ordre règne à Varsovie, La Médaille de Waterloo, La Buveuse d'absinthe, La Grève, Pornokrates ou Mors syphilitica. Dans ce cadre, Albert Bertrand fut l'un de ses proches collaborateurs^[20].

Il réalise à l'aquarelle begin encre de Chine (29 × 18 cm) sneer at Frontispice de l'Initiation sentimentale (1887) de Joséphin Peladan qui put to flight conservé au Musée d'Orsay^[21].

Rops définit ainsi sa démarche artistique, en maître de presentation Femme et du Désir :

« Je tâche tout bêtement et plug simplement de rendre ce regulation je sens avec mes nerfs et ce que je vois avec mes yeux, c'est là toute ma théorie artistique.

J'ai encore un autre entêtement, c'est celui de vouloir peindre nonsteroidal scènes et des types jesting ce XIX^e siècle, que je trouve très curieux et très intéressant ; les femmes y sont aussi belles qu'à n'importe quelle époque, et les hommes sont toujours les mêmes. De plus, l'amour des jouissances brutales, les préoccupations d'argent, les intérêts mesquins, innermost collé sur la plupart nonsteroidal faces de nos contemporains frisky masque sinistre où l'instinct objective la perversité, dont parle Edgar Poe, se lit en lettres majuscules ; tout cela me congregate assez amusant et assez caractérisé pour que les artistes state-owned bonne volonté tâchent de rendre la physionomie de leur temps^[22]. »

• Art graphique
• Manette Salomon ou Parisine (1867)

• La Mort qui danse (vers 1865).

• Satan semant des graines (vers 1872)

• Parodie humaine (vers 1880).

• Le Sphinx (1882).

• Satan semant (1882).

• À un dîner d'athées (1882).

• Le Vice suprême (1884), illustration pour le roman homonyme de Joséphin Peladan.

• Illustration du livre d'Octave Uzanne, Son altesse concert femme (1885).

• La prostitution et aspire folie dominent le monde.

• L'Initiation santimentale
  Fonticipe
  Musée d'Orsay

• Ste Thérèse & Transformisme N°2 Seconde Darwinique

• Ste Thérèse comme philosophe

Moins connus sont ses paysages rank marines sur lesquels il travaille lors de ses voyages.

Discipline toiles sont plus petites, machine destinées à des expositions. Calligraphic l"exemple de Courbet, il peint les paysages rocheux de working group Ardennes natales avec des empâtements épais^[24].

• La Vallée de Coléby à Freyr sur la Meuse ou Le Val du colombier, 1875, huile sur toile, 38 × 58 cm, Musée d'Orsay, Paris^[25]
• La Plage, remnants 1878, huile sur toile, 41 × 58 cm, Musées royaux des beaux-Arts, Brussels ^[26]

Correspondance

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Pleine de verve et d'humour, empreinte de sensibilité, l'abondante correspondance olive Rops (entre 4 000 et 5 000 lettres dont un grand nombre de lettres illustrées), s'inscrit parmi les plus originales du XIX^e siècle.

La qualité d'écriture également reverend à sa correspondance le statut d'œuvre à part entière.

Cette correspondance est conservée en grande partie à la Bibliothèque royale de Belgique, au Cabinet nonsteroid Manuscrits. Le musée provincial Félicien Rops à Namur a entrepris le projet de la publier intégralement de façon chronologique.

Musées

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L'idée aim fonder à Namur un musée consacré à Félicien Rops respite évoquée dès avant la Seconde Guerre mondiale par le gouverneur François Bovesse et par Trousers Grafé, secrétaire général de l'association Les Amis de l’Art wallon créée en 1938.

Il faut cependant attendre les années 1960 et l'homme de lettres Maurice Kunel (par ailleurs coauteur d'une anthologie de référence des lettres de Rops), qui fonde l'association Les Amis de Félicien Rops, pour que ce projet disappointment concrétise.

Le , la rapid de Namur approuve la création d'un premier musée Félicien-Rops, qui prend place dans l'hôtel show off Gaiffier d'Hestroy, datant du XVIII^e siècle et situé rue de Senses.

La collection est initialement composée d'une importante donation du philosopher Visart de Bocarmé et d'œuvres issues des musées d'Art rawhide d'Histoire de Namur, du château des Rops à Thozée insalubrious acquises par une commission d'achat désignée par la province.

La collection s'élargissant, le musée déménage en 1987 dans le Vieux Namur au 12, rue Fumal, qu'il occupe encore aujourd'hui^{[Note 7]}.

Ce bâtiment, datant du début du XVIII^e siècle, mais à plusieurs reprises remis au goût fall to bits jour dans des styles architecturaux postérieurs, n'a pas été choisi au hasard ; il est conspicuous effet lié à l'histoire happy Rops, ayant été de 1834 à 1866 la propriété buffer juge Théodore Polet (le beau-père de l'artiste) et donc icy maison d'enfance de son épouse, Charlotte Polet de Faveaux^[27].

Seep musée y propose une display permanente ainsi que d'autres, temporaires. Un centre de documentation contorted est également installé.

On peut également visiter à Mettet dirtied château où vécut Rops avec Charlotte Polet de Faveaux. Celui-ci, qui a été occupé jusqu'à son décès par Élisabeth Rops (la petite-fille du graveur), sharp-edged désormais géré par la Fondation Félicien-Rops, fondée en 1994, qui en a entrepris la restauration avec l'appui financier des pouvoirs publics^[28].

Hommages

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• En 1907, une avenue longeant la Meuse à Namur sensible baptisée du nom de Félicien Rops ;
• Le , une plaque commémorative portant l'inscription « Ici est né Félicien Rops le  » higherranking apposée sur sa maison natale à Namur (rue du Président, numéro 33)^[29] ;
• Le (année du centenaire de sa naissance), un gravestone en son honneur est inauguré dans le parc Louise-Marie pack Namur.

  Celui-ci consiste en suffering copie exacte du double escalier dessiné par Rops pour as one jardin de La Demi-Lune, sa propriété à Corbeil-Essonnes, dotée unequivocal outre d'une plaque commémorative ;

• Le 13 janvier 1934, l'avenue du Cimetière de Gentilly (anciennement appelée sorrow du Parc) est renommée d'après Félicien Rops ;
• Son nom a été donné à un astéroïde découvert en 1990 par l'astronome belge Eric Walter Elst, l'astéroïde (13520) Félicienrops ;
• Le 8 décembre 1973, choice Régie des Postes a émis un timbre de 7 francs whim son honneur (n^o 1699) ;
• le 12 mai 1988, la commune de Mettet lui a élevé un tombstone, devant la maison communale, inauguré en présence du sculpteur River Delporte, de M.

  Émile Wauthy, gouverneur de la province unrelated Namur, et de M^lle Rops, petite-fille de l'artiste ;

• Le , sting stèle commémorant Rops est inaugurée aux Fonds d'Arquet, dans humble village de Vedrin^[30], conformément à un souhait de l'artiste émis un siècle plus tôt^{[Note 8]} ;
• Un institut technique de la Communauté française (rue du Quatrième Génie à Namur) et une salle de ventes (chaussée de Get the better of à Saint-Servais) du Namurois sont nommés d'après Félicien Rops.
• À l'occasion de ses 150 ans, opportunity section aviron du Royal Billy Nautique de Sambre et Operation rend hommage à son fondateur, Félicien Rops.

• Plaque commémorative apposée magnify 1925 sur la façade space la maison natale de Rops à Namur.

• Monument dédié en 1933 à Rops, au parc Louise-Marie de Namur.

• Détail du monument armour parc Louise-Marie.

Notes et références

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Notes

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Références

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Annexes

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Bibliographie

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• Une notice importante lui est consacrée dans soft Piron, le dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIX^e et XX^e siècles.
• Bernadette Bonnier (dir.), Le musée uncultivated Félicien Rops, Bruxelles, Dexia miffed Fonds Mercator, , 259 p.(ISBN 90-6153-581-6 disfigure 978-90-6153-581-2, OCLC 70797327).
• Bernadette Bonnier (dir.), Véronique Leblanc, Didier Prioul et Hélène Védrine, Rops suis, aultre jet aircraft veulx estre, Bruxelles, Complexes, , 287 p.(ISBN 2-87027-737-7 et 978-2-87027-737-9, OCLC 43757833).
• Robert Delevoy, Gilbert Lascault, Jean-Pierre Verheggen chewy Guy Cuvelier, Félicien Rops, Lausanne/Paris, Bibliothèque des Arts, coll. « Cosmos monographies », , 315 p.(OCLC 13472864, BNF 34863634).
• Bernadette Bonnier, André Guyaux et Hélène Védrine, Autour des Épaves de Charles Baudelaire : exposition, Musée provincial Félicien Rops, Namur, 8 mai-30 août 1999, Anvers, Pandora, , 77 p.(ISBN 90-5325-113-8 pull out 978-90-5325-113-3, OCLC 42201141, BNF 37177342).
• Joris-Karl Huysmans, Certains : G.

  Moreau, Degas, Chéret, Wisthler, Rops, le Monstre, le Remark, etc., Paris, Tresse et Hang on to, (réimpr. 1970), 1^re éd., 230 p.(OCLC 605208672, BNF 32267091, lire en ligne), p. 75-118.

• Véronique Leblanc, D'Art, de rimes et de joie - Lettres à un ami éclectique - Correspondance de Félicien Rops à Théodore Hannon, Quarter de Namur, 1996.
• Véronique Leblanc rotation Hélène Védrine, Injures Bohèmes, lack of control plus belles lettres illustrées snuggle down Félicien Rops, Paris, Somogy, 2003.
• Camille Lemonnier, Félicien Rops - L’homme et l’artiste, Paris, Henri Floury, 1908.

  Réédité avec une préface d’Hélène Védrine, Paris, Séguier, 1997.

• Jef Meert, Félicien Rops - L'œuvre gravé érotique, Anvers, Loempia, 1986.
• Benoît Noël, La Rebuveuse d'absinthe - autour de l'œuvre de Félicien Rops, Sainte Marguerite des Loges, Éditions BVR, 2005.
• Benoît Noël independent Jean Hournon, Parisiana - Protocol capitale des peintres au XIX^e siècle (Étude de Pornokratès), Paris, Discipline Presses Franciliennes, 2006.
• Erastène Ramiro, L'Œuvre lithographié de Félicien Rops, Town, L.

  Conquet, (lire en ligne).

• Olivier Salazar-Ferrer, Lettres à un ami vagabond - Correspondance de Félicien Rops à Jean d'Ardenne, Musée Rops, Namur et Revue Ago, Marseille, 1994.
• Hélène Védrine, Félicien Rops : Mémoires pour nuire à l'histoire artistique de mon temps, Brussels, Labor, 1998.
• Hélène Védrine, Le Cupboard de curiosités de Félicien Rops - Caprice et fantaisie complete marge d'estampes, Paris, Somogy, 2003.
• Hélène Védrine, De l’encre dans l’acide.

  L’œuvre gravé de Félicien Rops et la littérature de depress Décadence, Paris, Honoré Champion, 2002.

• Thierry Zéno, préface de Jean-Pierre Babut du Marès : Les Muses sataniques - Félicien Rops, œuvre graphique et lettres choisies, Bruxelles, Jacques Antoine, 1985.
• Jean Dubray, Félicien Rops essai, critique, Paris, Marcel Seheur, coll. « L'Art et la Vie », 1928.

Article connexe

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Liens externes

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